« De la ZEP à la prépa, le risque d’être vu comme un traître »

mardi 14 octobre 2014

Durant cinq ans, le sociologue Paul Pasquali a suivi des élèves passant des cités aux grandes écoles. Il montre la difficulté à franchir les « frontières sociales » et les limites d’un système censé ouvrir les filières d’élite.


Voir en ligne : de Libération

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