Aux Etats-Unis, le facteur géographique détermine considérablement l’espérance de vie des plus pauvres

mardi 12 avril 2016

Les inégalités aux Etats-Unis ne se matérialisent pas seulement sur le plan financier, mais aussi en termes d’espérance de vie selon l’endroit où l’on habite. Ainsi, quand on est pauvre, la probabilité de vivre moins vieux est plus grande si l’on habite Detroit (Michigan) ou Cincinnati (Ohio) plutôt qu’à New York ou Los Angeles (Californie). C’est la conclusion à laquelle arrivent huit chercheurs dans une étude publiée lundi 11 avril, dans The Journal of the American Medical Association.


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